Dans l’affaire de vol de l’inscription en métal «Arbeit macht frei» («le travail rend libre»), mesurant 5 mètres de long, et qui figurait au-dessus de la porte d’entrée du camp d’extermination d’Auschwitz ouvert par l’Allemagne nazie en 1940 en Pologne occupée.
Des néonazis suédois seraient les commanditaires du vol de l’inscription «Arbeit macht frei» («le travail rend libre») qui ornait l’entrée de l’ancien camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau. Si cinq Polonais ont été arrêtés le 21 décembre, trois jours après les faits, le cerveau serait toujours en liberté. En Suède, plus précisément.
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