Depuis 65 ans que le débarquement en Normandie, l’ensemble des témoignages que se soit dans les divers films, images d’archives démontrent l’enthousiasme des Normands sur se débarquement, même chose pour les soldats américains débarquant.
Cependant de nombreux rapports passés sous silence démontrent une face encore très peut affiché de se débarquement notamment la crainte des soldats alliers envers les civils.
On peut le lire dans le livre « La Normandie Américaine » de Stéphane Lamache qui grâce à sa thèse sur « Les conséquences de la présence américaine en Normandie à la libération » offre un nouveau point de vue sur de déferlement libérateur.
Se Choc culturel et l’incompréhension qui va s’en suivre est parfaitement illustré dans cet ouvrage qui l’illustre avec de nombreuses lettre envoyées du front de Normandie comme celle de Franz Gerd écrit à ses parents le 9 juillet 1944: il a eu l’occasion de traverser les villes complètement détruites de Saint-Sauveur-le-Vicompte, Montebourg, Valognes … Au sujet des gens qu’il croise, il écrit ceci :« Une des choses les plus incroyables pour moi reste la population civile. m^me dans les phases ou ils sont évacués des zones de manoeuvres (ligne de front), ils continuent à vaquer à leurs occupations qutodiennes, sans tenir compte de la situation militaire.
Ces fermiers s’en tiennent à éxécuter la routine quotidienne au-devant de nos lignes trayant leurs vaches à moins de quelques mètres des généraux commandant en plein exercice et disant « attention: à leurs enfants quand un char de 27 tonnes vient à passer ».
La correspondance du GI va s’interrompre le 26 juillet 1944, date à laquelle il est tué au combat.
Nombres d’autres points sont abordés dans cet ouvrage comme la certaine hostilité quand à « l’occupation » américaine mais aussi le « comment contrôler les médias » et c’est la que la question des image que l’on nous fait voir depuis des années ressort.