PHP – base64 decoder simplement le contenu

On peut certaine fois être infecté par se type de d’attaque, on remarque cela dans les anciennes versions de WordPress ou sur le support OS commerce ou nombres de sites non tenue à jour ou avec du code mal conçu ont été victime de se type d’attaque.

Si cet mésaventure vous arrive et que pour une raison X ou Y vous désirez savoir ce que entraine un code crypté (malveillant ou non, cela peut être juste un template graphique codé )

Exemple :

[code]ALwAYJla2hgbmlhAQNoLyBpZmpiAaMhaWNmdG8DpQInABBjYnRkdAEQ=;eval(base64_decode(« JGxsbD[/code]

Pour décoder ceci afficher juste la source de la page de votre navigateur lorsque vous lisez la page, copiez et collez la source en html ou d’autres languages suivant le contenue du code.

Ou utilisez un service en ligne pour décrypter la base, mais dans la majorité des cas rien n’est en clair.

decoder bas64 en ligne

L’histoire du 83rd Chemical Mortar Battalion

Lorsque la 83e Bataillon chimique de mortier a été désactivé le 26 Novembre 1945 au Camp Myles Standish à Taunton, dans le Massachusetts, on pouvait compter 39 Silver Stars, 97 bronze stars, 5 Croix de Guerre, et 876 Purple Hearts et 91 feuilles de chêne. 3 citations d’unité, 508 jours de combat, et environ 500.000 cartouches tirées.

Ils ont également soutenu 17 divisions d’infanterie, 3 divisions blindées, 2 divisions aéroportées, et des nombreux groupes de travail, y compris les Rangers et les commandos britanniques, et combattu sous 6 American Corps, 1 Corps français, 2 armées américaines, et 1 armée française.
Ils se sont battus sur deux continents et a participé à 6 campagnes, y compris les amphibies et les opérations par planeur.

Ils se sont déplacée en Sicile, en Italie, en France, en Allemagne et en Autriche. Dans des endroits tels que Gela, San Pietro, Ceppagna, Anzio, Minturno, Venafro, Briançon, les Vosges, Colmar Pocket, Zellenberg, Riquewihr.

Le bataillon a également perdu près de la moitié de son effectif dans le naufrage du LST 422, l’une des pires tragédies maritimes de la Seconde Guerre mondiale.

Gliders de la Co.D 83rd le 15 Aout avant départ

Le débarquement du Lieutenant Spaulding – Omaha Beach 6 juin 1944

Le 2nd Lieutenannt John M.spauling de la section Leader de la compagnie E du 16th Infantry débarquement le 6 juin 1944 à Omaha Beach, il y détaillera son débarquement.

Nous sommes passées des transports aux LCVP à 3heures du matin. Les compagnies étaient alors divisées en groupe d’embarcation, et chaque péniche emmenait 32 hommes, dont un Medic et les deux marins la manoeuvrant. J’étais chef de la première équipe de la compagnie E. Nous étions dans la première vague d’assaut. Mon adjoints était le T/Sgt Philip Streczyk. Ce sous-officier, qui sera blessé au cours des combats de la forêt de Hurtgen en Allemagne, était le meilleur soldat qu’il m’est été donné de côtoyer. Il était entré dans l’armée comme appelé et avait gravi les échelons jusqu’à devenir platoon sergeant. il était des débarquement à Oran en Algerie et en Sicile. Si nous avions eu plus de gars comme lui, la guerre aurait durée moins longtemps.
La mer était vraimment grosse quand nous avons pris la place dans les LCVPs.
A cause de cette mer formée, la manoeuvre nous a pris bien plus de temps que lors des exercices. une fois dans les péniches, nous sommes allés vers un point de rendez-vous en mer. Ici, les marins ont commencé à nous faire tourner en rond encore et encore. Nous étions trempés jusqu’aux os. De nombreux soldats étaient déjà malades.

Vers 4 heures, nos bateaux se sont rassemblés et se sont mis en formation en V vers la côte. En avançant vers la plage, nous distinguions d’autres barges de débarquement autour de nous et pouvions entendre quelques avions au-dessus de nos têtes. Entre 5h45 et 6h00 nous avons vu les premiers éclairs sur la côte.
Nous ne savions pas si il s’agissait des bombardements de l’aviation ou si c’était l’artillerie allemande. Vers 6h15, le rivage apparut devant nous. A partir de 6h30, les premiers navires ont commencé à tirer, mais la plupart de leurs coups tombaient dans l’eau.
Entre les tirs de l’arttillerie de marine, levant poussière et débris.

Et la brume du matin, il devenait difficile d’entrevoir la côte. Voilà qui semblait déjà compliquer la manoeuvre des marins pour nous amener à bon port, et au bon endroit.
En approchant, le bruit sur la mer comme celui venant de la côte s’amplifiait. Nous dépassions plusieurs canots gonflables avec des hommes à leur bord. C’était les équipages de chars DD qui venaient de sombrer.
A un peu moins d’un kilomètre du rivage, nous étions déjà la cible de tirs de mitrailleuses mais heuresement sans réelle efficacité.
Approchant encore de la côte nous avons atteint notre ligne de départ pour l’attaque: les péniches de numéro imair se plaçaient en ligne d’un côté et les péniches paires de l’autre puis se lançaient dans cette formation vers la plage.
Nos instructions étaient de débarquer juste à droite d’une maison qui marquait la limite gauche de mon secteur. Nous devions franchir le fossé antichar à proximité de la sortie de plage E-1 et gravir le dénivelé vers le plateau.
Après ca nous devions envoyer des patrouilles vers Saint Laurent sur Mer pour établir le contact avec la compagnie E du 116th Regiment, qui était supposée débarquer à notre droite, puis pousser jusqu’à une hauteur au delà de ce village.
L’aviation devait avoir entre temps détruit les défenses sur et au dessus de la plage, de telle sorte que nous puissions débarquer sdans trop de difficulté.

6H30
Vers 6H30 le signal a été donné et nous avons démarré. A moins de 200 mètres de la plage la péniche a stoppé et un marin nous a crié de descendre. Le S/Sgt Fred A. Bisco et moi même sommes sortis. Un peu avant un matelot avait commencé à tirer avec mitrailleuse. Désomais nous ne subissions plus seulement les tirs de MG mais aussi les mortiers et quelques coups d’artillerie. Nous avons débarqué à marée basse et le nombre d’obstacles était considérable.
Ils dépassaient de l’eau et nous pouvions apercevoir des Tellermine sur la plupart d’entre eux. Aucun passage n’était dégagé et nous zigzagions au milieu. Il m’est difficile de dire si les marins auraient pu nous amener plus loin. Ils auraient probablement pris le risque d’échouer les bateaux sur un banc de sable.
Parce que nous transportions tant d’équipements et parce que j’avais peur que nous soyons lâchés dans des eaux encore profondes, j’avais demandé à mes gars de ne pas me suivre avant que j’ai pu moi même tester la hauteur de l’eau. Je sautai légèrement à gauche de la barge; l’eau m’arrivait à peu près à la taille. Il était autour de 6h45. Les hommes m’ont suivi. Nous avançions vers la plage et les tirs d’armes légères se renforçaient. Nous voyions d’autres chalands sur la gauche mais rien sur notre droite.
Nous étions le flanc droit de l’attaque de la 1st Division. Nous avions bien vu quelques tanks débarquer mais nous ne savions pas exactement ce qu’ils étaient.
On s’est déployé en V sur une largeur d’une cinquantaine de mètres. Mais bientôt nous avons senti le sol se dérober et n’avions plus pied, nous avons alors tenté de nager. Heuresement, ma bouée de sauvetage m’a sorti de ce mauvais pas, mais j’y ai perdu ma carabine! Personne ne s’est noyé, mais seulement parce que les gars se sont entraidés ou parce qu’ils étaient parvenus à se défaire de leurs équipements. Un fort courant nous entraînait sur la gauche.

Premières pertes
Strczyk et le Medic ( Private George Bowen ) transportaient une échelle d’un peu plus de cinq mètres qui devait nous aider à franchir le fossé anti char ou des obstacles du même genre. Ils luttaient avec dans l’eau au moment ou j’avais le plus de mal à surnager. Quand l’échelle me passe à portée je la saisis. Streczik me hurla:  » Lieutenant nous n’avions pas besoin d’aide ».

A cet instant, Dieu sait que c’est moi qui avait besoin d’aide! Je leur ordonnai de laisser tomber l’échelle. Parvenant enfin à reprendre pied, nous avions l’eau à hauteur de la bouche. J’avais l’impression d’avoir bu la moitié de l’océan et toussais à m’en étouffer. Nous avons sauvé le sergent Edwin Piasecki qui était sur le point de se noyer. Puis c’était au tour du PFC Vincent DiGaetano, qui portait les trente kilos du lance-flammes de crier: » Je me noie ! Qu’est ce que je fais de ce ( foutu) lance-flammes? ». Streczyk lui répondit de le balancer et il le fit. En plus des lances-flammes et de ,ombreuses armes individuelles, nous avions perdu nos deux mortier et la plupart de ses obus, un de nos deux bazookas, et pas mal des munitions également. Malgré tout, aussitôt sur la plage, les hommes qui étaient parvenus à garder leur arme étaient tout de suite prêts à faire feu. Les formidables Garand avaient supporté l’épreuve !
Sitôt arrivés, je scrutai l’horizon et vis une maison qui ressemblait exactement à celle que nous devions atteindre. Je me suis dit: »Bon sang, ces sacrés marins ont tapé en plein dans le mille ». Puis j’ai compris que nous avions débarqué près d’une autre maison presque à 1,5 kilomètre à l’est.
A peine sur le sable, le private William C Roper a été blessé au pied. Il essaiyait de retirer sa guêtre, mais ne parvenait pas à la délacer, je l’ai alors aidé à la retirer. Un de mes deux tireurs BAR, le Pfc Virgil Tilley, a été durement touché à l’péauple droite par un éclat d’obus.
En haut de la plage et en me retournant je remarquai qu’un certain nombre de mes garrs étaient encore sur le sable, tous debout et avançant lentement. Ils étaient bien trop trempés pour courir. Ils donnaient l’impression de marcher dans la tempête face au vent.
Nous avons traversé la bande de galet en direction de la maison dérrière le rivage. Nous nous sommes d’abord arrêté à hauteur d’un bâtiment détruit entouré de quelques épais buissons. Là, nous étions bloqués au pied de la pente menant vers l’intérieur par un champ de mines. Ma section était dispersée; les gars s’étaient déployés dès l’instant ou ils avaient atteint la plage.
Nous avions franchi des barbelés, mais je ne m’en étais pas rendu compte, j’étais encore dans une sorte d’état second, et ne voyais pas non plus toutes ces mines, à part les antichars au début de la plage. C’est le S/sgt Curtis Colwell qui avait ouvert le passage avec un Bangalore.
Mon estafette, le Pfc Bruce S. Buck m’avait rejoint. C’est là que j’ai essayé de contacter la compagnie E avec ma radio. Je pris mon talkie-walkie et tout en marchant, parvins à déplier l’antenne, mais il ne fonctionnait pas.




Debarquement à Omaha beach la sanglante

Chant Militaire Français – Le combat de demain

Etait noire la nuit, était rouge le feu.
La nation semblait à l’agonie.
Plus de chefs, plus de foi, un destin malheureux
S’abattait sur la chère Patrie

Les héros d’autrefois nous convient à leur foi
Camarades, groupons-nous en avant,
Les héros d’autrefois nous convient à leur foi
Chevalier tous ensemble à l’assaut.

Tous sont morts et leurs casques rouillés dans le vent
Veillent sur mille tombes fleuries
Sur la route au lointain nos chars rythment en grondant
Le refrain de la grande Patrie

Le cri de notre histoire et la terre et les morts
Nous appellent au combat de demain.
Nous jurons d’être unis, nous jurons d’être forts.
Europe, ton avenir est le mien.

Etait noire la nuit, était rouge le feu
C’était le moment du grand assaut,
Coude à coude en marchant ils chantaient par lambeaux
Le refrain de l’hymne des adieux.

Robert Capa – Pionnier reporter

Début 1944 Robert Capa a 31 ans.

Loin d’être un débutant il est déjà célèbre photographe après avoir couvert la guerre d’Espagne, correspondant chez « Life Magazine » il couvre A Omaha beach le débarquement avec 3 appareils photo, un Rolleiflex et deux Contax, il est de la première vague de débarquement aux côtés des unités combattantes.
Sauvant ses pellicules il ramène l’ensemble, au développement, une maladresse fait que seulement 11 photos sur les 72 prises sont sauvée floues pour la majoritée.

La rédaction de Life osera dire que la main de Capa avait alors tremblé. En réponse à ces accusation, Capa intitulera ses mémoires de guerre  » Juste un peu flou  »

Il ajoutera : » Si la photo n’est pas bonne, c’est que tu n’es pas assez près  » Robert Capa

Un extrait de ces mémoires intitulées « Juste un peu flou »:

Un obus tombe entre entre les barbelés et la mer, et chacun de ses éclats frappe un corps. Le prêtre irlandais et le médecin juif sont les premiers à se mettre debout sur la plage Easy Red. Je prends la photo. l’obus suivant éclate encore plus près. Je n’ose plus décoller mon œil de l’objectif de mon Contax et je prends frénétiquement photo sur photo. Une demi-minute plus tard mon appareil de bloque, le rouleau est fini. J’en cherche un nouveau dans mon sac ; mes mains mouillées et tremblantes bousillent le nouveau film avant que je puisse le mettre dans l’appareil. Je m’arrête quelque secondes… et c’est encore pire. L’appareil vide tremble dans mes mains. Une peur nouvelle et différente me secoue des doigts de pieds aux cheveux et me tord la figure. Je décroche ma pelle et j’essaye de creuser un trou. La pelle cogne une pierre sous le sable et je la jette au loin. Les hommes autour de moi sont étendus, immobiles. Seuls les morts, à la limite de la marré, roulent avec les vagues

 » .
Robert Capa,Juste un peu flou,Delpire,2003.

Le code d’honneur du Franc – Tireur et Partisan Français – Aout 1944

En Aout 1944 l’engagement au sein des FTP, Franc Tireur ou d’autres mouvements ne se faisait pas sans réfléxion, voici le « contrat » actif en Aout 1944.

ENGAGEMENT D’HONNEUR DU FRANC-TIREUR ET PARTISAN FRANCAIS

Après avoir pris connaissance des conditions garanties par le Comité Militaire National des Francs-Tireurs et Partisans Français à chaque engagé dans leurs rangs, condition en vigueur dans les formations de la France Combattante et assurant notamment :

Article 1.- Les volontaires de tout grade participant à l’action militaire des F.T.P.F. contre l’ennemi sur tout le territoire ont droit, en cas d’arrestation, pour eux et leur famille à un dédommagement matériel périodique.

Article II.- En cas d’invalidité consécutive à une action dans les rangs des F.T.P.F. ou en cas de décès, les volontaires ou leurs ayant droit bénéficieront du régime des pensions militaires appliqué à tous les anciens combattants, leurs descendants directs seront de droit pupilles de la Nation.

Article III.- Tous les droits et avantages reconnus par la France libérée à tous ceux qui auront combattus les armes à la main contre l’envahisseur, sont acquis de plein droit aux volontaires engagés dans les F.T.P.F. et soldats de la France Combattante.

Je soussigné , déclare m’engager dans les rangs des F.T.P.F. pour servir avec honneur, en tous lieux et jusqu’à la libération totale du territoire Français.

Je jure de combattre avec fidélité et discipline dans les unités F.T.P.F. qui sont sur le sol de la Patrie l’avant-garde armée de la France Combattante.

J’ai conscience des devoirs que j’assume en appartenant aux forces de la libération nationale et de combattre aux côtés des soldats de l’armée du Général de Gaulle, illustrés à Bir-Hakeim et de l’armée du Général Giraud.

En souscrivant formellement aux prescriptions du Code d’Honneur des F.T.P.F., je m’engage :

1° A SERVIR la France en me consacrant de toutes mes forces à l’action contre les envahisseurs et les traîtres à leur solde, afin que la France libre de tout occupant retrouve son indépendance et sa souveraineté au milieu des nations libres.

2° A EXÉCUTER avec discipline et conscience tous les ordres, instructions qui me seront donnés par mes chefs, la discipline librement consentie : fermement appliquée étant indispensable à l’accomplissement de notre mission et à la sécurité générale de nos forces.

3° A GARDER le secret le plus absolu envers quiconque sur tout ce qui concerne les unités F.T.P.F. et tout ce qui s’y rapporte : Leur organisation, leur action, leurs chefs, ainsi que toutes les organisations de Patriotes quelles qu’elles soient.

4° A RÉSISTER au cas ou je serais fait prisonnier par l’ennemi ou la Police dite Française, à toutes les menaces comme aux tortures, mais à ne jamais donner aucune déclaration ou indication quelle qu’elle soit sur n’importe quelle organisation de F.T.P. ou autre, ou sur aucune personne, connue ou inconnue, ou sur telle ou telle opération passée ou à venir.

5° A VENGER tous les crimes commis par l’ennemi et ses policiers contre les Patriotes

6° A RECHERCHER tous les traîtres coupables de délation à l’égard d’un Patriote
ou d’une organisation et qui s’est par là même condamné au châtiment de la peine de mort qui doit lui être appliquée dans le plus court délai et sans recours possible, même après la libération du territoire. Tout individu s’opposant à l’application du châtiment à l’égard d’un délateur devant être considéré comme solidaire de sa trahison et puni en conséquence.

7° A OBSERVER scrupuleusement toutes les règles de l’action illégale et clandestines auxquelles sont soumis tous ceux qui combattent contre l’envahisseur dans les conditions de l’occupation du territoire (ces principales obligations et règles sont énumérées dans la note de service 210 A sur la sécurité, dont je déclare avoir pris connaissance)

8° A ACCOMPLIR toutes les missions qui me seront confiées avec célérité, esprit d’initiative et abnégation, à reconnaître pour chef au cas ou mon unité se trouverait privée de son commandement au cours de l’action, soit son suppléant, soit le meilleur et le plus expérimenté des combattants, afin de mener l’action jusqu’au bout.

9° A PRÊTER au maximum aide à tout Patriote en danger ou blessé et à faire le maximum d’effort pour l’aider à conserver ou à recouvrer sa liberté.

10° A PARTICIPER activement au recrutement de nouveaux combattants pour renforcer les unités de nouveaux F.T.P. , à accroître mon instruction militaire, à aider l’instruction de mes camarades afin d’accroître la qualification de mon unité par l’étude de l’art militaire, du maniement des armes et surtout par un effort constant pour accroître sa force offensive, ses moyens de combat et élever toujours plus le niveau de son action.

11° A CONSERVER toujours une conduite exemplaire afin que l’honneur des F.T.P. ne puisse être entaché par un acte indigne d’un soldat de la libération nationale et à faire respecter autour de moi la discipline, à faire régner la discrétion, tout bavardage étant considéré comme un manquement grave à la sécurité et à la discipline.

12° A OBSERVER à l’égard de tous les Patriotes appelés à m’aider ou à m’héberger une conduite exemplaire, à veiller à la ville ou à la campagne à l’observation vigilante de toutes les mesures propres à assurer leur sécurité, à savoir passer inaperçu, à restreindre au maximum mes entrées et sorties, à témoigner par ma conduite et ma tenue de ma gratitude à l’égard des Patriotes qui m’aident à accomplir ma mission, à renforcer par mon exemple leur foi dans la cause de la libération de la Patrie.

VIVE LA FRANCE LIBRE ET INDÉPENDANTE
Fait le …………………. Par le matricule……………….
Grade ………………… Groupe de combat……………..
Détachement……………. Compagnie………………Spécialité militaire
Matricule écrit par l’engagé…………………Totem signe particulier de la Compagnie
à acheminer par les C.P. jusqu’au Centre :

L’histoire de la hitlerjugend

La hitlerjugend n’est pas née du jour au lendemain sur simple idée du gouvernement en place d’embrigader l’ensemble d’une jeunesse dans un but politique. Elle dessend directement de toutes ces organisations qui ont fleuri à la fin du XIXe et au début du XXe siècle.
Parmi ces mouvements crées pour régénérer les esprits, le mouvement de la jeunesse allemande est l’un des plus importants. Fondé en 1901 à Steglitz, il accueille les jeunes des classes moyennes suburbaines ou semi-rurales attirées par une vie saine loin des villes, considérées « corruptrices ».




Au départ apolitique ses discours se teintent d’un nationalisme de plus en plus virulent, ils exaltent la jeunesse, l’homme nouveau pour une nouvelle Allemagne régénérée après les affres de la Grande Guerre et de la crise.
Le groupe groupe se durcit, ils organisent des entrainements paramilitaires et lse thèses racistes dominent de plus en plus les discours.
La république de Weimar est associé à la défaite et au traité de Versailles et la démocratie devient synonyme de déliquescence.
Pour beaucoup la vision idéalisée du combat, l’héroïsme et le sacrifice pour la patrie deviennent les pierres angulaires du mouvement.

Hitler chef du NSDAP, s’interesse peu à la jeunesse qui compte tenu de son statu, ne représente pas un vivier d’élécteurs immédiats. C’est Josph Goebbels, chef de la propagande qui persuage le Führer dès 1930 de l’importance d’une jeunesse au service du parti outil de lutte contre les communistes. La hitlerjugend deviendra au fil des années une puissante organisation, choyée par le régime.
Future recrue pour la Wehrmacht, et également de Waffen SS, une division sera même créée pour ces enfants-soldats: la 12 SS-panzer-division. ( 12 à 18 ans ) elle se rendra coupable de crime de guerre sur les divers théâtre ou elle sera envoyée.

Pierre Brossolette : Figure majeure de la Résistance

Un portrait de cette figure de la résistance, journaliste, considéré comme socialiste proche du général de Gaulle. Personnage oublié de la résistance, sa mémoire est remise à la place qui lui revient grace à sa femme, il est décrit comme résistant engagé et la lutte devient pour lui un choix naturel.
Il part pour Londre et réussit à y faire passer sa femme et ses deux enfants ou il devient un des plus proches collaborateurs du général de Gaulle.
Il est fidel au général et tente de favoriser le ralliement à sa cause, il est neanmoins capable de préserver une distance en indiquant une lettre d’avertissement à de Gaulle et de critiquer en lui une façon impérieuse de faire.





Il multiplie les missions, retourne en territoire occupé au moment ou la Gestapo saccage après l’arrestation de Jean Moulin, les réseaux.
A partir de l’automne 1943 c’est l’apocalypse pour la résistance, de nombreux compagnons tombent et Brossolette à Paris.
Il sera pris en février 1944, au cours d’une tentative de départ pour l’Angleterre par la mer. Il y laissera la vie.

Le Syndrome vichysto-résistant

Le type même du vichysto-résistant et celui d’un fonctionnaire qui soucieux de sa carrière applique les ordres sans état d’âme. Capable des pires actes avec comme exemple l’execution d’ordre de repression sanglante de manifestations, ou de meurtre de résistants arrétés.
Lors d’actes de se type le collaboration est complète et indéniable, ce n’est que on en 1943, 1944 lorsque le personnel sent le vent tourner va tacher de rendre divers service à la résistance pour se couvrir lors des épurations de fin de guerre.
On ne peut/doit donc pas considérer les divers fonctionnaires qui ont collaborés avec vichy pour par la suite s’en détourner comme des résistants.

L’Express Hors serie de Mars Avril 2010 y consacre un article avec comme illustration le cas de Maurice papon qui fut très médiatisé à l’époque. Il y est parfaitement décrit se phénomène migratoire d’un camp à l’autre suivant la période du conflit.

Les motivations, très variées allaient de la déception sincère à l’égard de l’expérience Pétain pour ceux qui rompirent après l’invasion de la zone sud en novembre 1942, au cynisme bien trempé, chez ceux qui quittèrent le navire alors que le naufrage ne fesait plus de doute pour les Nazis.

Revisionisme sur les chambres à Gaz – par Louis Darquier de Pellepoix

Dans une interview de Louis Darquier de Pellepoix comissaire général aux questions juives sous le régime de Vichy en 1942, l’express interroge l’ex comissaire sur sa responssabilitée mais également sur l’existance des chambres à gaz.

Journaliste: Je suis venu vous voir pour essayer de comprendre ce qui se passait dans une tête comme la vôtre il y a trente-six ans.
> Vous êtes un agent de Tel-Aviv.

Un agent de Tel-Aviv pour autant que vous l’intéressiez, ne perdrait pas son temps à vous poser des questions.
> En tout cas, vous, vous perdez votre temps. Je n’ai rien à vous apprendre.

Vous vous trompez. Vous m’avez déjà appris quelque chose d’essentiel : Vous êtes un cas à peu près unique. Vous ne dites pas : » J’avais des ordres. je les ai éxécutés. » Votre positions ne semble pas avoir changé depuis 1942.
>Vous croyez donc que la question juive date de 1942! Mais la question juive est un problème millénaire…Déjà, au Moyen Age, l’occident, la chrétienté luttaient contre la progression tentaculaire des Juifs. L’étoile jaune, c en’est pas nous qui l’avons inventée. Si, au XII siècle, déjà, on a éprouvé le bsoin de faire porter la rouelle aux juifs, c’est qu’il y avait une raison. Quant à notre histoire récente, elle est entièrement conditionnée par la recherche de solutions au problème juif. Tenez, une question : est ce que vous vous êtes jamais demandé pour quelle raison il a fallu attendre si longtemps pour que soit appliquée la Déclaration de Balfour ? est-ce que vous avez compté les guerres compté les morts pour en arriver là ou nous sommes, aujourd’hui : l’établissement des Juifs sur un territoire litigieux ? Moi, lorsque le Maréchal m’a placé à la tête du Comissariat aux affaires juives, je me suis fixé un premier but. Un but humaniataire, notez le bien: rendre la situation des Juifs français aussi confortable que possible.

Vous n’êtes pas sérieux. A qui esperez vous faire croire ça ?
>J’oubliaus que vous êtes une malheureuse vicitme de la propagande juive. Et la propagande juive a toujours été fondée sur le mensonge. Toujours… toujours .. je disais donc cei: pendant les mois où j’ai été commissaire, j’ai passé le plus clair de mon temps à essayer d’éviter des ennuis à des juifs. Il s’agissait de Juifs Français, cela s’entend. Je prend un exemple. Entre nous, est ce que vous croyez qu’il était necessaire de déporter la famille Debré ?

Non. Absolument pas. Ni les Debré ni personne…
> Le père Debré est un demi-juif, c’est une affaire entendue. Mais enfin, ces gens-là ont des états de service. ce sont des Juifs qui ont choisi la France? Les déporter aurait été profondément injuste. Je vous ai cité ce cas-là, mais il y en a bien d’autres. D’une manière générale, je voulais que les Juifs français fassent bande à part.

Vous pouvez consulter la suite de l’interview dans « les cahiers de L’express » N°3 ( Les années Noires 1944 / 1945 )